Bon, je suppose que tout le monde connait l'expression "A force de tirer sur la ficelle..." et comment ça se termine en général.
Ce principe s'applique parafaitement à la moto et notamment au câble d'embrayage.
Ca faisait déjà quelque temps que je n'étais pas trop satisfait du réglage de la garde de mon levier gauche : je trouvais qu'il y en avait trop malgré des réglages poussés presque en butée...
En plus de ça je trouvais la poignée dure malgré des graissages réguliers de ce p#@$n de câble
Tout ça aurait du me mettre la puce à l'oreille et m'inciter à filer dare-dare chez le concess changer ce câble d'embrayage mais en motard confiant et persuadé qu'un ange gardien bienveillant veille sur moi (l'a du taf, le garçon ) j'ai continué à rouler paisible...
La suite est prévisible. Je revenais de chez un pote chez qui j'étais allé déjeuner, une bonne vingtaine de bornes à musarder le nez au vent à profiter du soleil quand *schtok*, le levier vient se coller après la poignée pour ne plus bouger...
Evidemment, sur une 4 voies, difficile de s'arréter. Et d'ailleurs s'arréter pour quoi faire sans le moindre bout de câble ni même un serre câble sous la selle...
A partir de là, j'ai pu m'apercevoir qu'on peut sans trop de souci passer les vitesses sans débrayer, ça coince juste un peu à la descente...
Le plus dur aura été de trouver un itinéraire urbain direct sans trop de feux pour aller vite fait chez le concess.
Et d'espérer tout le long du chemin (soit 5 à 6 bornes de sueurs froides et de calages répétés) qu'il ne serait pas fermé pour les vacances, ce qui n'était pas non plus gagné début août...
Mais non, les motards négligents ont bel et bien un ange gardien...
Ce principe s'applique parafaitement à la moto et notamment au câble d'embrayage.
Ca faisait déjà quelque temps que je n'étais pas trop satisfait du réglage de la garde de mon levier gauche : je trouvais qu'il y en avait trop malgré des réglages poussés presque en butée...
En plus de ça je trouvais la poignée dure malgré des graissages réguliers de ce p#@$n de câble
Tout ça aurait du me mettre la puce à l'oreille et m'inciter à filer dare-dare chez le concess changer ce câble d'embrayage mais en motard confiant et persuadé qu'un ange gardien bienveillant veille sur moi (l'a du taf, le garçon ) j'ai continué à rouler paisible...
La suite est prévisible. Je revenais de chez un pote chez qui j'étais allé déjeuner, une bonne vingtaine de bornes à musarder le nez au vent à profiter du soleil quand *schtok*, le levier vient se coller après la poignée pour ne plus bouger...
Evidemment, sur une 4 voies, difficile de s'arréter. Et d'ailleurs s'arréter pour quoi faire sans le moindre bout de câble ni même un serre câble sous la selle...
A partir de là, j'ai pu m'apercevoir qu'on peut sans trop de souci passer les vitesses sans débrayer, ça coince juste un peu à la descente...
Le plus dur aura été de trouver un itinéraire urbain direct sans trop de feux pour aller vite fait chez le concess.
Et d'espérer tout le long du chemin (soit 5 à 6 bornes de sueurs froides et de calages répétés) qu'il ne serait pas fermé pour les vacances, ce qui n'était pas non plus gagné début août...
Mais non, les motards négligents ont bel et bien un ange gardien...
;o)
